Généralement, lorsqu’un changement des animateurs des institutions nationales s’annonce à l’horizon, des esprits malveillants tapis dans l’ombre manipulent leurs hommes de main pour tirer à boulets rouges sur des personnalités en place qui s’acquittent convenablement de leurs missions au profit du pays et de la population. Ce qui est visé dans cette campagne de diabolisation est de les faire partir pour les remplacer par des hommes ou des femmes plus malléables, capables d’obéir à leurs caprices.
Le Docteur Roger Kamba, actuel ministre de la santé, hygiène et prévention est actuellement au centre des projecteurs de ces malfrats. Ce médecin qui travaille depuis son entrée au gouvernement à la grande satisfaction du chef de l’Etat, Félix Tshisekedi, est faussement accusé de ne travailler dans son cabinet qu’avec des membres de sa famille biologique. Ce qui ne correspond pas du tout à la réalité !
En effet, après sa prise de fonctions au ministère de la santé, le Dr Roger Kamba avait composé son cabinet où l’on retrouve des experts, des personnes venues du quota du parti, c’est-à-dire l’Union pour la démocratie et le progrès social -UDPS- et ceux qui ont travaillé dans le cabinet de son prédécesseur. Il suffit de vérifier la liste de ses collaborateurs pour s’en rendre compte. C’est dire que Monsieur Narcisse Bintu citée sur les réseaux sociaux, et présentée comme faisant partie de la famille biologique du ministre de la santé, ne cadre pas avec la réalité. Car, cette personne venue du parti, exerce actuellement les fonctions de chargée de mission.
Par conséquent, vouloir présenter les collaborateurs du ministre comme les membres de sa famille biologique est un débat de caniveau orchestré dans des officines des ennemis de la République et de la bonne gouvernance. Car, en s’en prenant sans raison du tout au ministre Roger Kamba, ces oiseaux de mauvais augure ne cherchent qu’à saboter la grande campagne de la couverture de la santé universelle qui se traduit dans notre pays, par la construction des infrastructures sanitaires pour faciliter l’accès de la population aux soins de santé.