Dans un paysage politique souvent marqué par les clivages et les ambitions personnelles, Jean-Claude Baende incarne une figure singulière: celle d’un homme de paix, profondément attaché à l’unité nationale et à l’épanouissement de chaque Congolais. Ancien gouverneur de l’Équateur, député national et président de l’Alliance des démocrates humanistes, Baende, aujourd’hui sénateur et rapporteur adjoint de la chambre haute du Parlement congolais, s’est toujours illustré par son ouverture au dialogue, sa proximité avec les populations et sa vision d’un développement inclusif. À travers ses engagements politiques et sociaux, il défend une République démocratique du Congo réconciliée avec elle-même, où la paix n’est pas un simple slogan mais le socle d’un avenir prospère et solidaire.
effet, depuis que notre pays a repris le processus électoral de 2006 en 2023, Jean Claude Baende a toujours été élu. Ce fait incontestable traduit l’amour, la confiance et l’attachement indéfectible que lui porte la population de l’Équateur, en général et celle de Mbandaka en particulier.
Cet homme qui bénéficie d’un tel plébiscite depuis près de deux décennies, n’a plus rien à prouver en matière de légitimité politique.
Les affabulations de ce jeune mal intentionné sur la non-participation du sénateur Baende dans les débats parlementaires sont dès lors fausses. Les quelques faits vérifiables ci-dessous le prouvent amplement:
• En 2006, il a été élu député provincial, avant d’être nommé vice-gouverneur de province. Son siège à l’Assemblée provinciale a été occupé par son suppléant, le député Ilonga Felly.
• En 2011, alors qu’il était gouverneur de la province de l’Équateur, il a été élu député national. Il a choisi de conserver ses fonctions exécutives et a, par conséquent, été remplacé à l’Assemblée nationale par son suppléant.
• En 2018, fidèle à la confiance de la population, il a encore été massivement élu député national, mais a préféré se consacrer à d’autres responsabilités pour mieux servir la République.
• Enfin, en 2023, il a été élu à la fois député provincial, député national et sénateur. Conformément à la loi, une seule de ces fonctions peut être exercée. Jean-Claude Baende a donc opté pour le Sénat où il siège actuellement en qualité de Rapporteur adjoint.
Par conséquent, c’est dans le souci de servir la nation qu’il n’est souvent pas présent à l’hémicycle au fil des législatures. Ce qui n’est pas du tout un signe d’inaction, comme le prétend ce jeune détracteur, mais plutôt la preuve de sa polyvalence et de son dévouement au service public.
Par ailleurs, ce jeune devra s’informer sur le rôle du Parlement défini à l’article 100, alinéa 2 de la Constitution. Cet article dispose que le Parlement vote les lois, contrôle le Gouvernement et évalue la politique publique. Il n’est écrit nulle part qu’un député ou un sénateur a pour mission de donner du travail aux citoyens.
De plus, l’article 112 de la Constitution fixe les recommandations relatives au règlement intérieur du Parlement, et là encore, aucune disposition ne confère au sénateur un rôle d’employeur.
En d’autres termes, le chômage des jeunes relève de la responsabilité du gouvernement, et non des parlementaires.
Le jeune homme qui, visiblement, semble être à la recherche d’un emploi, devrait consulter :
* Le Plan National Stratégique de Développement (PNSD 2023-2028);
* Le Programme d’Action du Gouvernement, notamment les pages 17 et 18, qui expliquent clairement les politiques de création d’emplois et d’insertion professionnelle des jeunes.
Il devrait dans la foulée lire l’article 5 de la Loi n°16/013 du 15 juillet 2016, portant statut des agents des carrières des services publics de l’État, pour connaître les conditions d’admission à la fonction publique.
Enfin, tu peux postuler à l’École Nationale d’Administration (ENA), comme le font d’autres jeunes ambitieux et compétents. L’accès y est fondé sur le mérite et l’intelligence.
Accuser un parlementaire de ne pas créer des emplois relève d’une mauvaise compréhension du fonctionnement de l’État. Ce genre de discours populiste ne fait qu’alimenter la confusion et la haine dans la société. Mieux : il résulte la méconnaissance des mécanismes institutionnels.
Qu’on l’aime ou pas, Jean-Claude Baende garde une proximité permanente avec sa population, non pas pour des calculs politiques, mais par vocation et amour du bien commun.