La population du territoire de Bongandanga, dans la province de la Mongala, se plaint du manque criant de représentants compétents dans les deux chambres du parlement. Alors que le territoire se trouve buté aux difficultés de tous ordres, les mauvais élus de Bongandanga sortis par corruption et/ou par parrainage de l’Udps se contentent de somnoler en pleines plénières. Personne n’a pris le courage d’aller du haut de la tribune et parler des difficultés auxquelles les populations sont confrontées. Après le détournement des fonds destinés à la modernisation de 145 territoires par les députés de la législation passée, la situation s’est détériorée davantage malheureusement ! Aucune infrastructure routière, pas de moyens de transport, pas d’eau ni électricité. Les populations vivent comme au moyen-âge en empruntant des transports de fortune. Au demeurant, ces 3 députés nationaux dont tout le monde ignore leurs noms, semblent être des mercantilistes. Au niveau du sénat, c’est un affairiste, un intrus en politique. On n’apprend pas la politique à plus d’une soixantaine révolue. Ils s’occupent tous à découvrir des restaurants huppés de Kinshasa pour ceux qui viennent d’arriver, tandis que les mercantilistes et affairistes amassent des milliers de dollars, s’achètent des lopins de terre pour assurer leur avenir au détriment de la population qui les a élus. Même s’ils ne savent pas le français, les 4 langues nationales sont autorisées dans l’hémicycle. Bongandanga se meurt alors qu’il regorge de perles intellectuelles capables de le défendre valablement comme le professeur Noël BOTAKILE par exemple peut porter haut l’image de son territoire. Alors qu’il était régulièrement élu, les populations regrettent les manœuvres dilatoires qui ont entraîné sa disqualification. Aujourd’hui les populations du territoire de Bongandanga n’ont que leurs yeux pour pleurer. Hormis des jeunes opportunistes qui se sont compromis, à qui les mauvais élus, les médiocres donnent des miettes, tout le monde ne veut plus voir ces aventuriers revenir en 2028. Thomas Jefferson disait : »ceux qui renoncent à leur liberté essentielle pour acquérir un peu de sécurité temporaire ne méritent ni liberté ni sécurité ». Tout ce que ces incompétents ont fait, c’est acheter des billets d’avion pour leurs maîtresses afin de se rendre en Europe et créer une bourgeoisie du type comprador sans que la jeunesse ne dénonce. Pendant ce temps, les populations vivant le centre du territoire se cotisent pour doter le chef-lieu d’une station radio. Ce territoire a commis quel péché pour mériter la représentation des médiocres à l’Assemblée nationale ? La bande des jouisseurs de ce régime vient d’abord du territoire de Bongandanga. Ne ratez surtout pas notre prochaine livraison. La vérité est difficile, mais il faut la rechercher même si elle vous coûte le confort de l’ombre. Nous allons révéler leurs identités mais aussi et surtout celles de leurs maîtresses.