Dans un pays où les entreprises publiques sont souvent synonymes de stagnation, Martin Lukusa Panu fait figure d’exception. Depuis sa nomination à la tête de l’Office national des Transports –ONATRA-, il s’est engagé dans une véritable révolution industrielle, redonnant souffle et ambition à une structure longtemps considérée comme moribonde.
Sous sa direction, l’Office national des Transports a connu une série de transformations majeures, notamment:
– Réhabilitation des infrastructures ferroviaires et portuaires, notamment à Matadi, avec l’élargissement des quais et la construction de nouveaux parcs à containers.
– Lancement de trains ultra-modernes sur la ligne Kinshasa-Matadi, salué par les usagers pour leur fiabilité et leur confort⁽²⁾.
– Redynamisation du personnel et amélioration des conditions de travail, créant un climat de confiance et de productivité.
Ces avancées ont permis à l’Onatra de redevenir un acteur stratégique dans le développement économique du pays, en facilitant le transport des marchandises et en générant des recettes vitales pour l’État.
Une cible pour les forces du mal
Mais ce succès dérange. À mesure que les résultats deviennent visibles, les attaques se multiplient:
– Campagnes de désinformation sur les réseaux sociaux, visant à discréditer les nouvelles infrastructures et semer le doute sur leur efficacité.
– Tentatives de sabotage politique, orchestrées par certains intérêts qui voient d’un mauvais œil la transparence et la rigueur imposées par Martin Lukusa.
– Résistance interne de certains cadres réfractaires au changement, habitués à des pratiques opaques et à une gestion laxiste.
Le DG Martin Lukusa ne se contente pas de gérer une entreprise: il dérange un système. Et dans un environnement où la réforme est souvent perçue comme une menace, il devient une cible à abattre.
Soutenir la réforme, protéger le leadership
Il est donc impératif que les Congolais, les partenaires internationaux et les acteurs de la société civile reconnaissent et soutiennent les efforts de modernisation entrepris par Martin Lukusa. L’Onatra n’est pas seulement une entreprise: c’est un levier de souveraineté économique. Et son redressement est une victoire pour toute la nation.
Martin Lukusa incarne cette nouvelle génération de dirigeants publics qui osent bousculer les habitudes, imposer la rigueur et viser l’excellence. Le protéger, c’est défendre l’intérêt général.
« Moderniser, c’est déranger» et Martin Lukusa en est la preuve vivante. En insufflant une nouvelle dynamique à l’Office national des Transports, il a réveillé un géant endormi, mais aussi les réseaux mafieux qui prospéraient dans l’opacité et l’inefficacité. Ces résistances ne sont pas le fruit du hasard: elles traduisent la peur du changement, la panique des intérêts menacés, et la rage de ceux qui voient leur emprise s’effriter.
Mais le progrès ne se négocie pas avec les forces du désordre. Le combat de Martin Lukusa est celui de la réforme contre la corruption, de la transparence contre les trafics, de l’avenir contre les fantômes du passé. Et ce combat mérite non seulement d’être soutenu, mais d’être amplifié. Car derrière l’homme, c’est toute une vision de la République démocratique du Congo qui se joue: celle d’un pays debout, moderne, et enfin maître de ses infrastructures.